Le chiffrement est fonctionnel. Voici par exemple la page de création d’un texte :
On note que l’on coche ici l’option de protection du texte après envoi.
L’objet correspondant au texte a pour identifiant :
aee27be7e46fd6246b2084a954c092ce7464bcf2e9e939a721f5c11e70a20646
En validant, on revient vers la même page mais avec deux parties en plus. La première en haut concerne le nouvel objet créé et un lien pour y accéder. Et en bas la suite des opérations réalisées, c’est à dire la création des objets, la génération des liens associés aux objets et au processus de protection, et enfin à la suppression de l’objet protégé, c’est à dire le texte que l’on vient de transmettre :
Si on suit le bouton pour afficher l’objet, on arrive sur la page d’affichage de l’objet protégé :
On remarque l’avertissement de confidentialité de l’objet affiché.
Cet objet est normalement supprimé. On va le vérifier. Premier test, on verrouille l’entité, l’objet n’est plus dans ce cas affichable. On a bien un message d’erreur :
On va même aller plus loin, on vérifie que ce n’est pas juste de l’affichage. Si on essaie de télécharger directement le contenu de l’objet, on a une erreur du serveur web parce que le fichier correspondant n’existe pas :
Si on essaie d’afficher l’objet protégé mais dans sa version chiffré, il n’est pas affiché. C’est une erreur, à terme il sera affiché le contenu déchiffré aussi. Voici la page :
Enfin, la version protégée de l’objet est bien accessible, le contenu chiffré, mais complètement illisible :