Mise en ligne 020160409

Une nouvelle version est en ligne.

Le module des groupes est fonctionnel.

Le module des systèmes de fichiers est fonctionnel.

Les autorités de recouvrement commencent à se faire de la place mais ne sont pas encore fonctionnelles.

L’affichage des listes et objets est maintenant faite en deux fois, une pour le cadre de la page et une autre inserré juste après avec juste le contenu de la liste ou  de l’objet. Ainsi, même avec des affichages longs à calculer ou à transmettre, il y a au moins une page affichée avec un petit texte d’attente.

Le module de messagerie est en cours de développement.

Un nouveau module apparaît. Il permettra de gérer, si on est autorité locale, les options de sylabe. Pour ça les options vont devenir des objets nebule et plus seulement des lignes dans un fichier de configuration.
Le logo de ce module des options :

admin

Et enfin,toutes les actions qui nécessitent une signature seront accompagnées de tickets de validation. Ainsi, il lien de suppression ou de partage de protection par exemple ne pourra pas être joué à prostériori (via un message piégé) ou rejoué.

A voir donc comme d’habitude ici : sylabe.com

Le code source : e67c62d2a22fe61d971aaad852d6f0acb55fb1c66fe5c2f26d2745f821f0e328

Mise en ligne version 20160127

Une version relativement stable est enfin en ligne.

Et sylabe est maintenant sur un serveur en propre avec 32Go de place : http://sylabe.com

Il y a des corrections sur l’affichage de certaines icônes et surtout la mise en place des modules annexes. Le modules permettent de manipuler un peu plus de chose que juste l’interface et le déverrouillage d’une entité. Bref c’est fonctionnel !

Les modules additionnels :

  1. système de fichier ;
  2. liens ;
  3. messagerie ;
  4. nœuds ;
  5. recherche ;
  6. Synchronisation/téléchargement ;
  7. langue anglaise ;
  8. langue espagnole.

Avancement

Le module de simulation de systèmes de fichiers est stable et complètement fonctionnel. Il peut bien sûr être amélioré plus tard en terme de fonctionnalités.

Maintenant, avant tout autre avancement dans les fonctionnalités, il faut trouver pour accélérer le code. En l’état, c’est globalement fonctionnel mais les pages sont beaucoup trop longues à charger.
Une des pistes d’accélération est de se servir de la session PHP pour mémoriser et restaurer les instances de la librairie nebule et de sylabe pour toutes les pages chargées par un même utilisateur. Cela veut dire que les vérifications ne se feront plus que une seule fois pour un utilisateur, lors de l’instanciation de la librairie et de sylabe.
Une seconde possibilité d’amélioration est de gérer une partie de l’affichage par des inserts dans les pages de type iframe mais en utilisant le javascript pour modifier le contenu.
Enfin, et ce travail a déjà commencé, une autre amélioration est de ne charger la session et ses variables que lors de consultations et de modifications. Ainsi PHP, qui bloque une page si la session est déjà ouvert, pourra vraiment traiter plusieurs parties en parallèle sans blocage. Par exemple si dans le code d’une page, en cours de traitement, demande une image chiffrée, le chargement de cette image qui nécessite elle aussi le traitement du même code ne sera pas bloqué en attendant la fin de traitement du code de la page…

Avancement et marquage des objets

Dans le nouveau module de simulation d’arborescences, il était possible d’ajouter des arborescences, des dossiers et des fichiers téléchargés. Mais il n’était pas évident d’ajouter des objets déjà présents, ce qui était assez dommage.
Ce problème est similaire pour la gestion de sous-objets à des nœuds ou des groupes.

Pour palier à ce problème, il est possible maintenant de marquer des objets. C’est une liste auquel on ajoute un ou plusieurs objets et de laquelle on peut aussi retirer des objets individuellement, ou tout enlever. La liste est liée à la session php et n’est donc pas persistante.

Mais pour commencer, revenons sur le module des arborescences. Tant que les liens ne sont pas dissimulés, toute arborescence est publique. Ainsi dans l’exemple ci-dessous je suis connecté en tant que Stéphane et je regarde une des arborescences de l’entité bachue developpement. On notera que mon entité d’utilisateur dispose d’une photo d’illustration avec des bords blanc. On notera aussi le petit problème de transcription du caractère accentué et, plus subtil, l’affichage d’un deuxième icône « Systèmes de fichiers » qui permet en fait d’aller voir ses propres arborescences quand on est ailleurs.

20150809 sylabe_-_St_phane_DENDIEVEL_-_2015-08-10_17.21.18

Le fait de pouvoir se déplacer et voir des arborescences d’autres entités doit être vu comme une fonctionnalité, le début de ce qui permet de partager à plusieurs des objets dans des arborescences. L’affichage ou non des objets se fera plus tard en fonction du poids social des entités qui ajoutent les objets et non en fonction d’un blocage (qui devrait être centralisé). Pour cacher l’usage des arborescences et des objets qu’elles contiennent, il faudra utiliser les liens dissimulés, c’est pour plus tard aussi.

Dans une arborescence, on voit que les icônes ont une importance. Celle qui désigne les dossiers indique que si l’on clique dessus, on va dans le dossier. Celle qui désigne les objets indique que si l’on clique dessus, on va voit l’objet, càd on l’affiche dans le module des objets.

Chaque objet est repéré par sa couleur propre. Cela facilite la reconnaissance visuelle de ce que l’on cherche. Tout dossier est un objet dont le seul intérêt est de servir de point de référence pour les objets qui lui sont rattachés, les sous-objets.

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Avancement

Puisqu’il faut bien faire faire quelque chose à ces objets et ces liens… Depuis hier soir, un nouveau module à été ajouté, il permettra d’émuler des systèmes de fichiers, ou arborescences de fichiers. Cela apparaît comme une application. Voici son icône :

nebfs

Voici le module tel que déclaré :

20150731 sylabe_-_developpement_bachue_-_2015-07-31_18.11.15

L’application apparaît bien dans le menu des applications :

20150731 sylabe_-_developpement_bachue_-_2015-07-31_18.12.03

Et lorsque l’on va voir cette application, on a les différents systèmes de fichiers, dits point d’entrés :

20150731 sylabe_-_developpement_bachue_-_2015-07-31_18.12.34

C’est tout pour l’instant.

Un objet réservé a été défini dans ceux de nebule : nebule/arborescence

De cet objet réservé sont liés par des liens de type f des objets qui servent de points d’entrés. Ces objets de points d’entrés contiennent de l’aléa, ils ne contiennent pas de valeurs ou de paramètres particuliers. Ils ont par contre des noms qui seront les noms des points d’entrés tels qu’on peut les voir dans la vue des arborescences (image ci-dessus). Ainsi, plusieurs points d’entrés de plusieurs entités peuvent avoir le même nom sans mélanger les contenus. Puisqu’il ne faut pas oublier que si les objets et liens ne sont pas protégés, c’est qu’ils sont publics donc visibles de tout le monde.

L’interface ne montre pas les points d’entrés des autres entités mais ça viendra.

Le travail en cours porte maintenant sur les arborescences.
On peut utiliser des liens de type f pour relier les différents dossiers d’une même arborescence, dans le contexte du point d’entré. Mais cela pose un problème. Si on crée un deuxième dossier ailleurs dans l’arborescence mais avec le même nom, alors tous les fichiers en dessous existeront dans ce deuxième dossier. Comme les objets sont liés à l’objet du dossier dupliqué, ils apparaissent quelque soit l’emplacement du dossier dans l’arborescence. Ça pose problème puisque l’on peut avoir un même sous-dossier Janvier dans des dossiers 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, etc…

Pour contourner ce problème, chaque objet qui compose les noms des dossiers dans l’arborescence peuvent contenir le chemin complet dans l’arborescence. Chaque objet de nom dans l’arborescence est relié aux autres au dessus et en dessous par des liens de type f. Ainsi on évite les collisions de dossiers avec le même nom. Mais là encore cela risque de poser problème. Si un des objets contenant le nom d’un des sous-dossiers d’une arborescence ne correspond pas aux noms des dossiers parents… c’est la catastrophe… Il faut dans ce cas prévoir un mécanisme de correction et de traduction des cas tordus.

La solution retenue consiste, comme pour les points d’entrés des arborescences, à créer un objet intermédiaire ne contenant que de l’aléa et avec un nom. Ce nom est utilisé pour l’affichage et peut être réutilisé autant de fois que nécessaire. Les objets des fichiers dans un dossier sont liés à cet objet intermédiaire.
A mettre en pratique… la suite au prochain épisode…