Dans le nouveau module de simulation d’arborescences, il était possible d’ajouter des arborescences, des dossiers et des fichiers téléchargés. Mais il n’était pas évident d’ajouter des objets déjà présents, ce qui était assez dommage.
Ce problème est similaire pour la gestion de sous-objets à des nœuds ou des groupes.
Pour palier à ce problème, il est possible maintenant de marquer des objets. C’est une liste auquel on ajoute un ou plusieurs objets et de laquelle on peut aussi retirer des objets individuellement, ou tout enlever. La liste est liée à la session php et n’est donc pas persistante.
Mais pour commencer, revenons sur le module des arborescences. Tant que les liens ne sont pas dissimulés, toute arborescence est publique. Ainsi dans l’exemple ci-dessous je suis connecté en tant que Stéphane et je regarde une des arborescences de l’entité bachue developpement. On notera que mon entité d’utilisateur dispose d’une photo d’illustration avec des bords blanc. On notera aussi le petit problème de transcription du caractère accentué et, plus subtil, l’affichage d’un deuxième icône « Systèmes de fichiers » qui permet en fait d’aller voir ses propres arborescences quand on est ailleurs.
Le fait de pouvoir se déplacer et voir des arborescences d’autres entités doit être vu comme une fonctionnalité, le début de ce qui permet de partager à plusieurs des objets dans des arborescences. L’affichage ou non des objets se fera plus tard en fonction du poids social des entités qui ajoutent les objets et non en fonction d’un blocage (qui devrait être centralisé). Pour cacher l’usage des arborescences et des objets qu’elles contiennent, il faudra utiliser les liens dissimulés, c’est pour plus tard aussi.
Dans une arborescence, on voit que les icônes ont une importance. Celle qui désigne les dossiers indique que si l’on clique dessus, on va dans le dossier. Celle qui désigne les objets indique que si l’on clique dessus, on va voit l’objet, cà d on l’affiche dans le module des objets.
Chaque objet est repéré par sa couleur propre. Cela facilite la reconnaissance visuelle de ce que l’on cherche. Tout dossier est un objet dont le seul intérêt est de servir de point de référence pour les objets qui lui sont rattachés, les sous-objets.
On va donc aller chercher un objet existant. Ici j’utilise un objet contenant une version obsolète du code de sylabe. On voit en bas à gauche dans le menu un nouveau bouton « Marquer ». Noter aussi la couleur de l’objet, ça servira plus tard.
En cliquant sur le bouton « Marquer », on revient sur le même objet mais cette fois il est remplacé par deux autres boutons « Démarquer » et « Démarquer tout ».
Pour l’exemple, on ne va pas ici désélectionner l’objet mais le garder pour plus tard. Retournons maintenant dans l’arborescence de l’entité bachue developpement que l’on regardait tout à l’heure. On note l’apparition d’un nouveau bouton « Ajouter les objets marqués ».
On clique dessus, cela nous envoie vers une fenêtre intermédiaire qui affiche les objets qui vont être ajoutés. Là on a que notre objet de code avec sa couleur caractéristique. On peut ajouter simplement et publiquement ces objets ou dissimuler qu’on les ajoutes. La dissimulation des liens n’est pas encore fonctionnelle.
En validant l’ajout de notre objet, on revient dans l’arborescence. On voit qu’il a été ajouté. Tout en bas apparaît le lien qui a été créé pour définir l’insertion de l’objet dans cette arborescence.
Voila pour le marquage des objets et son usage pratique.
Revenons à l’avancement du module des arborescences. On se déplace dans un des sous dossiers. L’arborescence a été créé par une autre entité mais je peux ajouter un objet ou un fichier que je télécharge. Noter en bas toutes les actions relatives au téléchargement et à la nébulisation d’un fichier.
De même on peut tout à fait créer un sous-dossier. Il apparaît bien comme créé par moi. Noter en bas tout ce qui est fait pour la création du dossier.
Et ce dossier est fonctionnel.
On peut ajouter un objet (ou le même fichier) partout dans l’arborescence, c’est toujours le même objet. Ce comportement est un peu différent de ce que l’on a l’habitude de faire dans les systèmes d’exploitations classiques. Mais il est logique, c’est le même objet. Ainsi un objet peut apparaître à plusieurs endroits d’une arborescence qui permet de classer des informations sur différents thèmes.
Enfin, on quitte l’entité de l’utilisateur pour aller voir l’arborescence du point de vue de l’entité qui les a créée. L’objet ajouté est bien visible.
Une réflexion sur « Avancement et marquage des objets »